S.O.S. avaleur(s) de flamme
Posté : lun. 7 mai 2018 17:20
Bonjour à tous, je vous expose mon petit souci :
Soit deux avaleurs de flamme, l'un fonctionne très bien (il pète le feu au sens littéral), l'autre est paresseux, paresseux ...
La différence entre les deux ? Le premier utilise une petite fenêtre circulaire en bout de cylindre, obturée par un fin clinquant de laiton, et la flamme est devant et en dessous.
Le second a une fenêtre allongée sur le côté supérieur du cylindre, et la fermeture est assurée par un linguet de laiton plaqué contre le plat du cylindre et actionné par une lame de ressort.
Jusque là, rien de bien différent entre les deux.
Par contre, en examinant soigneusement le fonctionnement de la "distribution", je note que dans le premier, la soupape commence à se fermer peu avant le PMB et commence à s'ouvrir pile entre le PMB et le PMH. C'est à dire que le temps moteur est assez court et que la soupape est ouverte la majorité du temps.
Sur le numéro 2 par contre, si le clapet se ferme à peu près au même moment de la descente du(des) piston(s), il ne se rouvre que lorsque le piston arrive au PMH. le temps moteur est théoriquement bien plus long et la soupape reste fermée la majorité du temps.
J'ai tenté de régler la position des cames pour avoir un peu plus d'avance, un peu plus de retard, rien n'y fait. J'ai tenté d'inverser le sens de marche en positionnant les cames "à l'envers", pas mieux ...
Alors, quelqu'un plus qualifié que moi saurait-il par hasard quelle règle générale s'applique à la "distribution" de ces moteurs, qui paraissent bien capricieux ?
Je ne parle même pas des réglages de position et de longueur de mèche ... Par contre, le dard d'une petite lampe à souder dans un des cylindres excite singulièrement mon numéro 2. Souffrirait-il d'un défaut de conception empêchant la flamme d'atteindre la fenêtre correctement - étant entendu que le bougre s'y entend aussi pour me souffler les flammes et les éteindre de manière aléatoire Ah là là, rien ne vaut un bon diesel bien puant !!
Soit deux avaleurs de flamme, l'un fonctionne très bien (il pète le feu au sens littéral), l'autre est paresseux, paresseux ...
La différence entre les deux ? Le premier utilise une petite fenêtre circulaire en bout de cylindre, obturée par un fin clinquant de laiton, et la flamme est devant et en dessous.
Le second a une fenêtre allongée sur le côté supérieur du cylindre, et la fermeture est assurée par un linguet de laiton plaqué contre le plat du cylindre et actionné par une lame de ressort.
Jusque là, rien de bien différent entre les deux.
Par contre, en examinant soigneusement le fonctionnement de la "distribution", je note que dans le premier, la soupape commence à se fermer peu avant le PMB et commence à s'ouvrir pile entre le PMB et le PMH. C'est à dire que le temps moteur est assez court et que la soupape est ouverte la majorité du temps.
Sur le numéro 2 par contre, si le clapet se ferme à peu près au même moment de la descente du(des) piston(s), il ne se rouvre que lorsque le piston arrive au PMH. le temps moteur est théoriquement bien plus long et la soupape reste fermée la majorité du temps.
J'ai tenté de régler la position des cames pour avoir un peu plus d'avance, un peu plus de retard, rien n'y fait. J'ai tenté d'inverser le sens de marche en positionnant les cames "à l'envers", pas mieux ...
Alors, quelqu'un plus qualifié que moi saurait-il par hasard quelle règle générale s'applique à la "distribution" de ces moteurs, qui paraissent bien capricieux ?
Je ne parle même pas des réglages de position et de longueur de mèche ... Par contre, le dard d'une petite lampe à souder dans un des cylindres excite singulièrement mon numéro 2. Souffrirait-il d'un défaut de conception empêchant la flamme d'atteindre la fenêtre correctement - étant entendu que le bougre s'y entend aussi pour me souffler les flammes et les éteindre de manière aléatoire Ah là là, rien ne vaut un bon diesel bien puant !!